Et si je suis
moi le chemin
dans tes impatiences
oui si je les suis pour en ressentir tous les parfums
en voir les couleurs
ignorer en un mot toutes ces douleurs
Et si moi qui entend
je n’arrive plus loin encore
je sais c’est entendu
trop de neige de lumière noire qui s’écrase en motifs
yin yang
oui et si je suis
alors tu es
as-tu suivi ?
P.07
je tu il
je tue il
je tuile
je tu nous
je tue nous
je nous tue
je nous tus
genou tue
je nous vous
je nous voue
je nous vous je nous tu je tu il
je nous voue je nous tue je tue il.
Beau jeu, fille du renouveau. J’ai en projet justement un texte qui n’utilisera que le tu, raconté par une personne, le tu comme parallèle au tue/é, pour marquer que le je ne peux pas toujours surgir quand le tue est là dans l’autre et ce qu’il inflige, ce texte serait en effet sur les violences dites conjugales.
merci de votre doux passage.
à propos de Easter voir « American gods » de N. Geiman
http://fr.wikipedia.org/wiki/American_Gods
à lire pour ceux qui ne connaissent pas.
Merci donc de votre passage quasi divin. et au plaisir du revoir.