Je le savais une nuit d’avril plongé sans larme dans un cuir satiné regardant sans ruine ma mémoire sur écran s’envoler vers la grande muraille s’entonner d’un vent perlé de nuages
Je le savais peu
C’est loin les larmes quand on cherche l’abri des charmes
Loin de tout coeur au fond calé du silence
Et d’une perle nue le battement du rêve
Merci à toi Pant … pour cette lecture et aussi pour avoir supprimé (à ma demande) mon précédent message sur ce texte … !!!
Ne dirai qu un seul mot ici … « BEAU » … j aime …
baiser
Il y a cette syllabe
s’en
qui donne à tout le poème une couleur pourpre
dans un climat de nuit
Très beau…