Marcher sur une bouche
pour qu’elle s’ouvre
à peut être des baisers
à peut être
pour qu’elle s’ouvre
Ou d’un tu dois sur les lèvres
pour empêcher la parole
nos tu doigts pleins les mains
qui se prennent en points déposés reposés
nos tus doigts pleins les yeux à se les couvrir
et s’affranchir d’écrire
Murmurer c’est ivre mes quelques pas
sur tes pas tout de suite
y suivre le chemin d’une lune à te sourire
d’un masque à ne plus saisir
maintenant que tu es là
souriante même quand je ne te vois pas
je te vois encore j’ai les yeux fermés
pas encore couché je me relèverai
et encore une fois je reviendrai
Eli Eli vers celle que je n’abandonnerai pas
‘remix 2006-2008, juste pour tes yeux comme tout ce sable que je dresse devant toi Ô ma Belle Lectrice’
Cette photo je la connais, ces formes ont été pour moi des tulipes de mer qui s’accrochent à la terre, un souvenir de la Baule, sur des kilomètres j’ai foulé le sable un coeur tout contre le mien.
ah la Baule, près de chez moi, de mon natif St Brevin, et de ma belle cote de Jade, oui tu as raison, le sable comme lien .
On dirait que tu parles à la Fille de la Mer.
J’aime cette photographie où vous boudez tous les trois…et dont tu as extrait ton visage.
Claudia
eh bien oui Claude, j’avoue, je parle à la fille de la Mer, toute la série sable à l’intérieur elle même de la série blanche qui fonctionne en opposition avec la série noire. Tout ces textes sont nés de la même muse.
J aime relire cette série Pant … blanches heures … sable qui déjà est un souvenir d été passé chez moi … Début d automne qui n en demeure pas moins aussi chaud même si le sable se glace sur terre … !!!
Baiser … et belle fin de soirée Poète