Un jour trahir. Un jour mourir. À …ir, à …ir.
Et si j’ai les lèvres en couteaux, je ne tremblerai plus.
Et si j’ai mes larmes en faisceaux, j’espère que le froid leur fera découper quelques chairs.
Un jour trahir. Un jour s’enfuir. Un jour mourir. S’il n’en reste que trois.
S’il n’y en a plus que deux. Raccourcir.
Et un seul ? Finir.
A long time Pat
So nice to read U, even if extremely sensitive & kind of hurtfull poeme!
But this is your way, is it!
Bravo
Amitié à toi & ta Tribue
À ir… comme Air … !!!
Ici tout comme ailleurs … J aime toujours autant … te lire cher Pant … !!!
Bon week-end … Baiser à toi
Pourquoi pas un jour a désir… à rêver pour le plaisir.