N’oublie pas.
tu me suces, tu me croques, n’oublie pas je ne suis pas un bonbon tu me mords, tu me saignes, n’oublie pas ma chair est sans pareille tu m’assommes, tu me tues, n’oublie pas je ne suis pas ton…
mes textes, mes poemes.
tu me suces, tu me croques, n’oublie pas je ne suis pas un bonbon tu me mords, tu me saignes, n’oublie pas ma chair est sans pareille tu m’assommes, tu me tues, n’oublie pas je ne suis pas ton…
Un jour trahir. Un jour mourir. À …ir, à …ir. Et si j’ai les lèvres en couteaux, je ne tremblerai plus. Et si j’ai mes larmes en faisceaux, j’espère que le froid leur fera découper quelques chairs. Un jour trahir.…
Rien ne sert de courir il faut juste se retourner, fermer les poings, hausser le ton. Premier poing, tout au fond de la main, cette gamelle que tu tends, est-elle pour moi le chien ? remplie d’eau croupie, envahie de…
Si j’avais inventé la lune soleil tu te marierais et mes paupières définitives fermées se couleraient de suint Si j’avais parlé l’aube Aurore tu m’aurais pardonné mes tristesses comme mes faiblesses coulées dans d’étroits défilés Mais je ne suis que…
Il n’a pas de mots il n’a que des reflets dans l’ombre des soliloques solides loques qui abritaient un coeur Tranche acérée un cœur arraché un cœur qui sèche en dehors un cœur qui momie s’enfuie sans un cri ôtant…
Deux ans pour le finir, mais le voilà, à l’aube et au soir il a la teinte de mon coeur. ** Orage automatique, une salle fugace, plus près du terminal là où on s’enferme, une vie, un lieu qui sans…
Tout ce que je regarde à un drôle de gout like a miracle tudieu voilà le bleu le bleu ici dans tes yeux tout ce que je remarque c’est l’attache qui rompt qui fout le camp et mes images fuient…
On ne meurt presque plus on s’amuse de mes refrains de mes grelots qui frôlent le pastel l’écru le carmin par les bleus tout de la chair en faire au tour le tour au bord de l’autre je ne me…
j’ai regardé et j’ai encore serré les poings quand tu es partie devant moi alors je me suis retourné et comme j’avançais sans me poser le ciel m’apprivoisait tu savais que le vent lui me poussait j’ai quelques rêves insatisfaits…
Tu les ombres tes dentelles tu les montres toutes les heures au silence les éternelles les fumées qui tombent des seins avides les longueurs les jambes les os qui font saillies qui ressortent en mille esprits de fractures tout ce…