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On a plongé vers le lit de la liberté sur l’ile sauvage nos cheveux emmêlés pour te revoir encore une fois j’irai mourir devant l’autre qui lui porte ta main Si j’ai changé ? non et pourtant ce n’est que…
On a plongé vers le lit de la liberté sur l’ile sauvage nos cheveux emmêlés pour te revoir encore une fois j’irai mourir devant l’autre qui lui porte ta main Si j’ai changé ? non et pourtant ce n’est que…
Ce que vous aviez construit cette immense maison sur un coeur de cristal toutes ces particules ce que de peur le néant s’enfuit pour avancer pour plus vite décoller Je ne sais peur d’ombre tout lacher vous exaltiez mes…
D’où ce passé l’autre est mémoire elle s’est laissée ivre continuer par là chacun de mes pas la main dans la courbe J’ai du mal à continuer l’odeur suit mal la découverte et le mensonge la sueur le silence tout…
On se regarde si peu en fait, on ferme les yeux, on les oublie presque, volontairement, on ferme, on se referme, on s’enferme, tous prisonniers, tous coupables, tous attendant la vie sans vouloir la fréquenter, tous en pleurant une liberté…
Lune qui efface s’efface dernière de mes lèvres closes fermées ou si la derrière des ouvertures crême sur le drap posé tes baisers sous l’ombre des étoiles des nuits où se découpe la cendre aux visions fermées tu ressors hors…
Photographie de Ernesto Timor Je t’ai vu cuivrée mon amour, seule au monde à toiser, le quart du temps qui se montrait là, et ton sourire derrière le voile, tu te cachais, tu me cherchais, tu m’envoyais des…
L’âme y a-t-il quelque chose à comprendre ? Comprendre ? s’éprendre vers l’infini ou vers l’au delà, s’il nait une âme, jamais cela ne sera dans un filet, s’il est une fl’âme c’est qu’elle touche d’abord le coeur, le corps…
photo credit: Tonyç Plus tard l’été se souviendra l’aube presque détendue le rouge à la rapace courrait encore plus vite Plus nus encore Ils se souviendront Que vouloir soulever la jupe que le douloir ne pose plus le pas je…
Il y a un amour, il y a Et tous les mots n’allongent que le pas vers demain Ylia oui c’est de l’amour qui fait le besoin de guérir ça vaut la peine Ylia, tout partage toute vision toute larme…
« Si je t’aime ? Je t’ai toujours aimé. » Je nierai pas plus loin aux dires du capitaine, et ma langue linceul s’emporte dans tes murs perturbant l’horizon, quand je rentres au port je l’infiltre dès le bord, dès le bas…