C’est la fin. Oui. C’est la fin dans un dé bu, surtout sans soif, et pourtant Sans soif il y a toujours toi, comme Une faiture* si tendre et forte à en recouvrir de tous temps la fêlure Des airs…
Alors on se met à table et sur celle là des mots plus que des bouteilles des bouts de papiers et loin d’eux nos amours j’y pense encore à quoi se gâche le silence entre nous quand des millions de…
Sous les vers, en pan de soleil Comme en sus, s’épanouit l’intransigeance de nos raisons, et là l’abomination des limbes, en internement solitaire de nos maux sades, de nos mots solée, ineffaçables Comme du reste, à la lisière des déserts,…
Carl, Carl, les vers poétiques d’Anatoly sont aussi des verres de vodka en trop, autant de vers au cercueil et ils ne luisent pas : ils enlisent. Et moi que je te lise ou que tes lettres de travers(e), tes…
Sara ? Oui c’est moi encore que en corps queue de singe ou d’homme qu’importe, il y a une racine entre mes jambes, des milliers de rhizomes qui me retiennent de leurs dents carnassières qui m’accrochent et me badigeonnent de…
L’usure du temps et ses laines au tendre mot oui comme à la grâce yeuse n'entrait dans la ruelle que lente et blanche comme ses yeux jamais ne s'ouvraient car il y avait avant et après des paupières peintes ou…
« Votre mot de passe c’est à l’envers sur le décor de l’uniforme, en fermant l’oeil gauche et en bissant le regard qu’il vous laisse ». Mon mot se passe ? À l’identique c’est vrai Anatoly que les cordes de…
« Tu as les paupières gonflées dés toiles liquidant des lunes en cernes, eau de noix bleutées gomme les éraflures qui frottaient le géant fleuve saoulant mes yeux » et les lunes caniveaux qui savent parler aux étoiles retombant leur…
-Illiana ! Carl la prit par le bras, l’entraîne de suite au présent, chassant la simplicité de ce passé instant qui n’a pas suffit à autre chose qu’à une re rencontre, -Illiana ! -Carl ! Que de longues heures et…
« Mais tu as les mains trop petites pour soupeser cette chair qui regorge de lait. Ta bouche est bien trop carnivore pour caresser le moindre blanc parce que ça t’étouffe mais c’est toi rien que toi et tu ne…