Virginie 9
Comme il est beau cet amour Qui mène à la lumière Les aubes rouges de l’enfer. Et belle contrebasse Où sont les cordes sur lesquelles jouer De mes envies? Dauphins de noir encrées Plongent au corps de l’oeuvre, Point d’orgue…
Comme il est beau cet amour Qui mène à la lumière Les aubes rouges de l’enfer. Et belle contrebasse Où sont les cordes sur lesquelles jouer De mes envies? Dauphins de noir encrées Plongent au corps de l’oeuvre, Point d’orgue…
Ce soir nous sommes ici Novembre couvre de feu Mon regard Alliance subtile ta chair en motifs Mes ombres en plein cintre Et en plein coeur Je meurs? Pant.2003.
Sur tes mondes d’écorce pointent les ardeurs du désir Envolent elles ta peau libre vers plus loin Les ombres de ta peau. Ocre,feu des abrugges pour mon sang, S’effilent de tes seins des lacs de feu Pleins de promesses contenues.…
Au fil de l’onde qui charme tes contours Une lionne au coeur nu Emerge lascive Expectative… L’amour est il un cadeau? Pant.2003.
Des liens de lumière qui tissent Des ombres dans ta chair Un ruban qui étire ton corps Et ta peau diaphane qui couvre à peine Dejeté ce regard qui me cherche Pant.2003.
Sur tes mondes d’écorce pointent les ardeurs du désir Envolent elles ta peau libre vers plus loin Les ombres de ta peau. Ocre,feu des abrugges pour mon sang, S’effilent de tes seins des lacs de feu Pleins de promesses contenues.…
Encore un lien,un effort Tes yeux qui cherchent mon corps Et la mouche à sa place, Tiers point sur ce derme abricotier. Puis je un soir trouver Un soir,abris cotier Pour cette tempête improvisée. Pant.2003.
Quand se pointent en horizon Ces ombres sanguines peintes comme peau, Ces liens mécaniques qui tendent ta chair Sont une parure à ta beauté. Pant.2003.
j’ai vu ce regard tendu sous ces yeux apeurés Ce corps redressé par ces glacis de bleu Ta chair comme unique soleil. J’ai vu ce coeur qui se bat contre les attaches. Et là les ombres se cachent. Pant 2003